le 19 octobre 1917
Je suis dans le train,en chemin vers la guerre. Mon père m'a obligé à y aller car il disait que «le meilleur moyen de grandir c'est d'aider son pays».Ça y est la sonnerie retentit c'est l'heure de découvrir le monde de la guerre. Là-bas ça n'a pas l'air si terrible ! Mais je me suis complètement trompé. Dès que j'arrive un homme se fait amener à l'infirmerie. Mais où m'a envoyé mon père ? La journée se finit avec beaucoup de morts,moi aussi j'ai cru que j'aillais mourir. Cette nuit, je n'arrive pas à dormir,c'est un enfer ici.
le 31 octobre 1917
Ça fait déjà 12 jours que je suis là,et je regrette déjà les bons plats de ma mère et surtout ,ma famille me manque. Les obus commencent à peser lourd, les coups de feu sont de plus en plus violents et tout ce sang qui dégouline... ça me fait mal au cœur.
Le 9 novembre 1917
Mon ami Jean Marc devait me couvrir ,mais il s'est fait tirer dessus. Il a continué à me défendre malgré sa grave blessure: quel courage§ Mais nous n'avons pas pu le garder avec nous, car les coups de feu étaient de plus en plus forts du coté des Allemands :
il est rentré chez lui.
Le journal est resté inachevé.
Malheureusement, André se prit un éclat d'obus avant d'arriver dans la première tranchée.
André est mort pour la France le 9 novembre1917.
Daphnée et Léa
le 5 juillet 1916
Cher journal,
Nous sommes en route vers les tranchées françaises. Pour la première fois de ma vie : je vais combattre. J'ai peur mais en même temps je suis impatient.
C'est bon nous sommes arrivés aux tranchées qui sont gadouilleuse car hier et ce matin il a plu.
Par terre il y a quelques cadavres,beaucoup de blessés et d'amputés:c'est horrible!Certains de mes amis sont venu combattre pour la paix. Nous commençons a nous installer par terre car il n'y a pas de lit. Je fais connaissance avec mes camarades de guerre,mon commandant vient
me donner mon équipement de soldat,mon arme et il me montre mon poste. Ensuite il me donne mon collier ou il y a ma plaque de matricule. Je viens de voir un rat passer avec un doigt dans la gueule : encore plus horrible !!Bon il faut que j'aille combattre.
Je suis de retour pour manger. Au repas : soupe et morceau de pain.
le 6 juillet 1916
Cher journal,
Cette nuit, je n'ai pas dormi à cause de ces tirs à répétition et des obus. Je suis très fatigué ! Ce matin j'ai mangé du pain d'un cadavre que j'ai aperçu hier. Le pain était vraiment dégoutant, mais je l'ai quand même mangé pour avoir quelque chose dans l'estomac. Ma famille commence à me manquer. J'ai envie de rentrer chez moi car je trouve la guerre très horrible ; mais je dois rester pour la paix... Ce soir je commence ma garde ( de nuit ) donc je dois me reposer dans la journée pour rester éveiller cette nuit.
le 15 juillet 1916
Cher journal,
Cela fait 10 jours que je suis arrivé et je suis déjà démoralisé. Mais je dois continuer à combattre pour mon pays ! La guerre me fatigue beaucoup, je n' arrête pas de dire à mon commandant que je suis épuisé mais il ne m' écoute pas. Aujourd'hui, j'ai reçu une lettre de ma famille, cela m'a fait très plaisir. A chaque fois que je la relis, cela me touche beaucoup et je verse quelques larmes.
le 25 août 1916
Cher journal,
Ce matin, je me retrouve sans un bout de mon nez. Je suis très fatigué avec tous ces bruits d'obus ; en plus cela fait 1 mois et 20 jours que je suis là. La semaine dernière, j'ai reçu une balle dans la jambe pendant que je rechargeais mon arme ; heureusement je ne me suis pas fait amputer. Je dois y aller, je viens d'entendre : « UNE FRANCE LIBRE POUR NOS ENFANTS, BATTEZ-VOUS CHER SOLDAT ! ! »
Laetitia et Elisène
12 Juin 1915
Cher journal,
aujourd'hui on m'a appelé à la guerre
13 Juin 1915
C'est mon premier jour. Les tranchées sont énormes : je combats ,combats sans m'arrêter. On est fatigué je pense déjà à cette nuit de sommeil .Je ne m'endors pas. J'entends des coups de feu. J'en profite pour écrire une lettre à mes proches :
Chère famille,
La guerre est terrible,papa est mort. J'ai écris cette lettre pendant la nuit car je n'arrivais pas à dormir. Je viens d'apercevoir une étoile filante. Je redeviens heureux et confiant . Vous me manquez déjà . Au revoir et à bientôt .
Pierre
12 juin 1916
Aujourd'hui' hui je suis en première ligne .Je peux voir les Allemands ,tiraient .Tout-à-coup ,une balle me traverse l'épaule ,je tombe à terre ,Gérard le signale et un médecin m'emmène à l'arriéré .Ce soir j' arriverai à dormir.
31 juillet 1916
Je vois mon ami au sol: il a de la nourriture ; du coup je vais la chercher. Je suis à découvert devant l'ennemi : ,j'ai peur de mourir maintenant .Je retourne dans ma tranchée je suis soulagé,! je reçois une lettre de ma famille et ce soir je suis de garde.
25 décembre 1916
Aujourd'hui c'est Noël. Hier soir les Allemands sont venus mangéeret boire avec nous . On a rigolé , joué,dansé et chanté ...mais demain la guerre recommencera.
Baptiste et Noéline
Je m appelle Bruno je me demande si je vais survivre à la guerre.
Je partirai demain avec mes deux frères Enzo et Matthieu.
Ce matin à 7h30 nous partons. Ils nous donnent nos uniformes .Puis nous allons creuser des tranchées .
3 mois plus tard ...
Nous avons terminé fini les tranchées. Nous préparons les canons puis les armes, la nourriture et les gourdes . Tout à coup on entend un coup de fusil ,la guerre commence. Matthieu,,Enzo , les autres et moi nous précipitons dans les tranchées. Puis nous prenons notre arme .Il y a des dégâts,, les dégâts sont grave. Matthieu est amputé de la jambe.
La guerre est finie : on est tous content que la guerre soit terminée!
Enzo et Matthieu
Le 1er jour de guerre est très dur notre uniforme est lourd à porter. Je viens de perdre un de mes amis j'ai beaucoup souffert. Les tranchées sont toutes petites, nous avons du mal à passer.
Pendant la nuit plusieurs de mes amis se sont fait manger par les rats, ils ont du se faire amputer.
Le 2 ème jour de guerre a été plus dur que le 1er nous avons mangé des rats.
Mon chef Gaston s'est fait amputer du bras parce qu'un rat l'a mangé. La nuit j'ai été de garde et j'entendais des bruits d'obus et de fusils.
J'ai encore perdu des amis pendant cette nuit là.
Le 3eme jour de guerre, nous avons de moins en moins de soldats, les ennemis ont diminué eux aussi. J'ai faim,je suis allé chercher de la nourriture sur un soldat... MORT!
21 septembre 1914 : j'ai du remplacer mon chef sur le terrain car il se faisait soigner.
Ce soir, j'ai écrit une lettre à ma famille.
Chère famille
Je vous envois cette lettre pour vous donner de mes nouvelles. Je regrette d'être parti à la guerre ce n'est pas ce que j'imaginais ,c'est encore plus dur ,trop de dégats
Bisous je vous aime
Et 15 jours plus tard ma famille m'a envoyé une lettre et ma soeur m'a envoyé un dessin
Mon cher fils
Nous avons bien reçu ta lettre ,ça nous a fais très plaisir de recevoir de tes nouvelles car nous nous inquiétons énormément. Nous aimerions tellement te prendre dans nos bras. Nous t'aimons très fort. Ta famille adorée
Pendant la nuit, j'ai eu très peur, il pleuvait il y avait des éclairs, des éclats d'obus étaient par terre. UN OBUS !!! Adieu...
Sarah C. et Sarah S.
Mon cher journal
Que de coups de feu,, j' ai peur , je sursaute .
A chaque seconde la tension monte encore et toujours
Que de larmes qui coulent dès le premier instant.
L'espérance de vie ici sur le champ de bataille est difficile à promettre
Que d'acharnement pour sauver sa vie !
Dès le premier jour , j'ai eu un pressentiment : la guerre , la bataille n'est donc pas faite pour moi
La peur de mourir est là à chaque heure, chaque minute et chaque seconde...
Vouloir dès le premier jour arrêter cet enfer qui massacre des vies et qui fait pleurer à sanglots des familles entières.
Dans les tranchées notre vie est misérable.
Il y a des rats qui rêvent de nous croquer un doigt ou d'autres parties de notre corps.
Aujourd'hui je suis de garde et j'ai très peur de l'ennemi qui peut me tuer si facilement.
J 'aimerai tant être chez moi avec les gens que j'aime ; mais cela m'est impossible.
En hiver il fait froid , j'ai du mal à supporter ces températures changeantes ;
nos doigts et nos oreilles peuvent tomber très rapidement.
Notre nourriture n'est composée que de quelques misérables bouts de pain
et d'un bol de soupe presque froid ; bien sur nous nous en contentons !
A chaque fois que des obus atterrissent mon cœur retentit .
Pendant ma garde , derrière des barbelés et les sacs de sables , je veux m'assoupir quelques minutes , mais si un obus explose près de moi , malheureusement ma vie y passerait ; donc je reste éveillé.
De temps en temps ces obus nous servent à dessiner.
Aujourd'hui j'ai vu beaucoup de mes amis mourir ; j'ai essayé d'aller chercher sur eux quelques provisions mais une balle m'a atteint , je suis donc allé à l'infirmerie ,ils m'ont bien soigné.
La guerre s'est terminée peu à peu et je suis rentré chez moi auprès des gens que j'aime plus que tout au monde !
Enola et Louane
Déjà deux jours dans les tranchées avec l'humidité ,la boue ,les rats : ma famille me manque. Il y a déjà 11 morts et une vingtaine de blessés j espère ne pas être le prochain. Les obus des Allemands peuvent tuer à tout moment , Et leurs armes à feu peuvent aussi nous tuer. Hier j'ai vu la mort de près , René a glissé dans la boue et son fusil a tiré: je l'ai esquivé de justesse.
Troisième jour :, l'armée nous avait dit une semaine et là ils nous annoncent plus : nous sommes obligés de rester là .Aujourd'hui il fait beau nous allons pouvoir faire sécher nos affaires car hier des pluies se sont abattues sur nous . La nuit fut longue Jean-Bernard s'est retrouvé sans nez : affreux ,même dégoutant ! De l'autre coté de la tranchée je vis le rat manger son nez cela m'a dépité et là je me suis dit « on est là pour encore combien de temps » . Tout ces bruits d' obus me font peur.
Premier mois : je suis encore là .Il y a déjà moins de monde dans les tranchées des deux camps .Ma famille me manque de plus en plus, de jour en jour ,hier mon frère est mort ,je suis très triste . Je vais leur envoyer une lettre pour leur annoncer cette nouvelle , ils vont être tristes ! Et quand je pense qu'il est mort, cela me fait de la peine.
Deuxième mois : il y a beaucoup beaucoup de morts plus d' une centaine , il y a aussi beaucoup de blessées .Tous les jours nous avons
peur de nous faire tuer par des bouts d'obus ou de tirs bien visés , ma famille me manque terriblement. Des fois, je leur envois des lettres , ou j'en reçois d' eux .
Troisième mois : je sens que la mort approche mois rien n' est sûr , je suis allé deux fois voir le docteur car j' ai reçu une balle dans l' épaule .Il pleut, il y a plein de boue partout : c'est dégoutant toute
cette boue. Ca fait trois que je ne me suis pas lavé ni rasé je ressemble à un monstre c'est horrible . Mais après tout, ça ne me gène pas car personne ne nous voit comme ça.Perrine et Lise
Cher journal,
C'est le premier jour de la guerre,nous nous dirigeons vers les tranchées. J'ai déjà très peur .Un ami m'encourage.
Nous arrivons dans les tranchées . Et là c'est l'horreur !Je vois des hommes souffrir. J'entends des médecins amputer des jambes . Dans les tranchées la boue nous empêche d'avancer,, nos doigts sont gelés , les rats courent partout et mangent les cadavres. Si je ne meurs pas aujourd'hui ,je continuerai à t'écrire demain sinon adieu...
Kilian et Ryan
Le premier jour on m'a donné une arme et on m' a dit : tiens !Essaie de survivre ! Ce n'était pas du tout comme je le pensais plein de personnes mouraient. Moi je ne voulais pas mourir, je voulais rentrer et le plus vite possible. Je suis rentré dans une tranchée c'était tout petit et il pleuvait ,le bois qui était en dessous était trempé,de la boue partout. J'ai frôlé la mort : un morceau d'obus est tombé juste à côté de moi. Le soir c'était mon tour d'être garde de nuit j'avais des jumelles pour regarder la bataille sans sortir de la tranchée. Quelle belle invention !Je ne sais même plus pourquoi je
suis ici tout ce massacre toute cette haine!Une semaine plus tard j'ai pu aller à l'arrière et envoyer une lettre à ma famille.Le 2 septembre 1915 mon général est mort à cause d'une balle perdue qui s'était retrouvée dans sa tête,il est mort sur le coup .Aujourd'hui plein de personnes sont mortes à cause des Allemands. Trois de mes amis se sont fait amputer les bras ou les jambes C'est horrible mais c'est la guerre. Hier,je me suis fait amputer la jambe. Demain je rentrerai chez moi. J'ai peur de ne pas revenir vivant.
Adieu ou à demain
Yohann et Maxime
Je me suis présenté pour aller en guerre le 1er juillet. J'ai suivi la troupe jusqu'aux tranchées .Je commence à tirer sur l'ennemi et
on entendit déjà des obus à explosion . J'ai failli mourir mon ami s'est fait toucher et il est parti à l'infirmerie et j'ai commencé à m'inquiéter .2heures plus tard ,j' apprends qu'il s'est fait amputer le bras et qu'il est retourné chez lui. .j'ai commencé à m'énerver mais ensuite je me suis calmé. Je me suis fait plein d'autres amis mais j'en ai deux qui sont morts il m'en reste trois .Ce midi on m'a dit que je monte en grade. Je suis caporal maintenant .J'ai mangé de la soupe et du pain, je n'ai pas aimé et je l'ai recraché et il n'y a pas d'eau potable. Tout à coup un obus atterrit dans les tranchées.20 hommes sont morts .Nous retournons à notre poste et continuons à tirer sur l'ennemi. Nous avons transporté un gros canon puis nous avons tiré un obus qui a percuté un ennemi ça a fait une grosse explosion .Tout le monde s'est blessé puis on a recommencé à se tirer dessus. Deux de mes amis se sont fait tuer .Mon ami est venu m'aider et puis il est tombé, un coup est parti et la pelle lui a transpercé le dos ; lui aussi est parti à l'infirmerie. Ce soir j'ai mangé une soupe au ratSix jours plus tard il est mort.
Julien et Baptiste
Aujourd'hui la guerre fait rage depuis trois jours; trois jours de malheur de cruauté et d'enfer .Je regarde dans les tranchées, je regarde toute ces pauvres personnes qui souffrent .Toutes les personnes amputées .J'ai peur, je tremble puis je me dit:on doit remporter la guerre,je dois le faire,pour eux : je charge mon fusil,vise et tire. A chaque coup de feu, je me dis :allez c'est bientôt
fini, mais, ça ne fait que de commencer. Cette nuit j'ai eu très faim; j'ai rampé jusqu'a voir un rat. Il fallait faire encore 30,35m. Pour atteindre le sac de nourriture, j'ai chassé le rat puis je l'ai mangée : ce n'était pas bon, mais je l'ai fait. Trop tard, impossible de faire marche arrière. Un fusil... Au secours!!
'J'entends des canons tirer, des mortiers, des obus qui explosent, des mitrailleuses et des coups de fusil.J'ai vu un obus droit devant; j'allais prévenir mes camarades mais pas le temps!!!J'ai couru le plus vite possible mais un fusil a tiré sur ma baillonnette et je suis tombé. Je regarde et je vois tous ces pauvres hommes morts à cause d'un obus. Je me dis: « arrête de penser à ces gens et bats-toi!
7 mois plus tard
Je suis gelé ,je dois me coucher. Enfin endormi, je me réveille, surpris . Moi qui voulais prendre mon fusil je n'avais plus de doigts. J'ai essayé de passer par le tuyau le plus proche pour aller à l'infirmerie; un obus à bille est passé au dessus de moi et au mauvais moment toutes les billes sont tombées sur moi...
Melvin et Marc